?partie 2, Fahrenheit 451 Page 68, 69 1. Mildred dit ces mots à Guy Montag. Elle lui dit que les livres ne sont pas des personnes que l’on trouve dans son salon de télévision et avec lesquelles elle aime être. Elle appelle les gens de la télé sa famille. Elle compare les livres à sa télévision. Elle dit que les gens de la télé lui racontent des choses et la font rire et qu’ils sont pleins de couleurs, alors que les livres sont en noir et blanc et n’ont de sens pour personne et ne la font pas rire mais la font se sentir mal. Page 70, 71 1. Cette citation a été dite par Faber à Montag.

Dans le monde de Montag, les gens sont superficiels ; ils ne pensent pas ou ne parlent pas profondément de quoi que ce soit, et semblent même avoir peur de le faire. Faber, en revanche, pense très profondément à tout, il ne se contente pas de parler de choses en particulier, il parle de choses qui ont un sens pour lui. Page 74-76 1. Montag se remémore ces souvenirs à lui-même. Je pense que ce souvenir d’enfance a un grand symbolisme pour sa vie d’aujourd’hui. Essayer de verser le sable dans le tamis représente le fait qu’il essaie de verser toutes ces connaissances dans sa tête, mais qu’elles ne cessent de tomber.

Et cette récompense d’une pièce de dix cents qu’il recevra de son cousin représente la récompense pour la lecture et la mémorisation, la connaissance. Dans cette citation, l’auteur utilise le flashback. 2. Le narrateur, Ray Bradbury, dit ces mots pour décrire la situation de Montag. Le bruit fort de la radio du train pendant qu’il essayait d’apprendre les versets de la bible accable Montag. L’auteur utilise une métaphore pour comparer le bruit fort et horrible de la radio aux vomissements. 3. Le narrateur, Ray Bradbury, dit ces mots en utilisant l’Allitération, qui est la répétition de sons, dans ce cas les D.

Il utilise aussi la Simile « Il sifflait comme un serpent.  » Ceci est utilisé pour montrer la confusion et le vide de Montag. Les voix de la publicité ont distrait Montag d’apprendre les versets de la Bible, tout comme le diable qui empêche l’homme de faire de bonnes actions. Page 79, 80 1. Faber dit ces mots à Montag, alors qu’il explique l’importance des livres. Il insiste sur le fait que ce ne sont pas les livres eux-mêmes que Montag recherche, mais le sens qu’ils contiennent. Il définit l’information de qualité comme une connaissance texturée et détaillée de la vie, une connaissance des « pores » du visage de l’humanité… Faber dit ces mots à Guy Montag. Dans les livres, vous pouvez utiliser votre propre imagination et vous êtes libre de penser et d’interpréter. Chaque mot dans le livre semble être connu alors qu’à la télévision, ce que vous voyez est ce que vous pensez et vous ne pouvez pas étendre votre imagination. Page 82, 83 1. Faber dit ces mots à Guy Montag. La salamandre dans cette citation représente les pompiers. Faber voit que la seule façon dont la société peut changer est si les pompiers se changent eux-mêmes de l’intérieur.

Faber décrit comment cette idée de planter des livres dans les maisons des pompiers mènera à l’autodestruction des pompiers quand ils trouveront des livres dans leurs propres maisons et finalement le métier de pompier sera éradiqué de ce monde. 2. Dans cette citation, le narrateur, c’est-à-dire Ray Bradbury, dépeint les actions que les mains de Montags faisaient. Ici, les mains de Montags expriment ce que sa conscience peut à peine reconnaître. Il n’a pas vraiment envie d’endommager la vieille bible, mais sa conscience comprend apparemment que l’aide de Faber est encore plus importante. Page 87, 89, 90 1.

Faber dit ces mots à Guy Montag. Dans cette citation, le dispositif littéraire Métaphore est utilisé, dans lequel Faber se réfère lui-même comme la Reine des Abeilles et Montag à une abeille membre de sa ruche. Dans cette citation, il dit qu’il préférerait rester à la maison et guider Montag à partir de là, au lieu de sortir et de prendre des risques comme Montag. Ray Bradbury montre ainsi la lâcheté de Faber. 2. Dans cette citation, le narrateur, Ray Bradbury, décrit les sourires des femmes dans le salon en utilisant l’allusion « Cheshire cat smiles ». Le chat du Cheshire est un personnage souriant dans le livre « Alice au pays des merveilles ». Cette citation est utilisée pour décrire les faux sourires sur les visages des femmes, et le faux bonheur qu’elles avaient. Les gens de cette société portaient un faux sourire afin de paraître heureux devant les autres, mais en réalité ils ne le sont pas. 3. Dans cette citation, le narrateur, Ray Bradbury, prononce ces mots. Cette citation nous indique que les gens de cette société sont fascinés par la violence, tout comme les femmes du salon qui sont très excitées lorsque ces scènes horribles se produisent. C’est aussi le même genre d’attitude que celle que Clarisse attribue à ses camarades de classe. Page 91 1. Dans la première moitié de la citation, Mrs.

Phelps dit ces mots à Montag et aux deux autres dames dans sa chambre. Dans la seconde moitié de la citation, Mildred dit ces mots à Montag. Mme Phelps mentionne que si son mari meurt à la guerre, elle ne sera pas bouleversée. Mildred dit ces mots à Montag pour mentionner indirectement comment leur vie amoureuse a été ces dernières années et que, même s’ils sont mari et femme, ils sont tous deux émotionnellement distants. Ces deux personnages sont des exemples de l’absence totale d’affection réelle dans leur société ; il n’y a que des relations superficielles qui remplissent l’espace. 2. Le narrateur, Ray Bradbury, dit ces mots en utilisant une belle imagerie.

Cela crée une merveilleuse imagerie parce qu’il nous montre explicitement comment Montag essaie de comprendre ce que les femmes pensent en étudiant leur expression faciale, puisqu’il ne peut pas trouver d’autre moyen d’essayer de les comprendre. Il a l’impression que tout ce que les femmes lui disent n’a pas de sens. Page 95, 97 1. Le narrateur, Ray Bradbury, prononce les mots. Il compare le doux battement d’ailes d’une mouche dans l’oreille d’une personne à la vibration qui s’est produite dans l’oreille de Montag lorsque Faber lui a demandé de lire au moyen du dispositif vert fixé dans leurs oreilles. Il utilise le procédé littéraire de la métaphore. La mouche dans la citation fait référence à la pièce d’oreille dans les oreilles de Montag… Le narrateur, Ray Bradbury, décrit la réaction de Mme Phelps après avoir entendu le poème. Mme Phelps est l’une des amies de Mildred, et elle est émotionnellement déconnectée de sa vie, semblant ne pas se sentir concernée lorsque son troisième mari est envoyé à la guerre. Lorsque Montag lui lit le poème, elle pleure parce que le poème a réveillé ses émotions qui avaient été longtemps bloquées par les médias sociaux. 3. Ces mots sont dits par Mme Bowles à Montag. Après que Montag a lu le poème à haute voix, Mme Phelps se met à pleurer et, à sa réaction, Mme Bowles est bouleversée. Mme Bowles croit que les livres n’ont pas de sens et qu’ils ne font que blesser les gens.

Les gens de cette société veulent toujours être heureux et ne veulent pas de douleur ou trop de stress dans leur vie. Ils ne veulent pas penser par eux-mêmes et c’est pourquoi ils pensent que les livres n’ont pas de sens et ils pensent que la télévision est agréable car ils n’ont pas besoin de penser car ils voient quelque chose d’insignifiant qui vous fait penser ce qu’il veut. Page 101 1. Le narrateur, Ray Bradbury, décrit les actions de Montag. Après avoir rendu la bible à Beatty et s’être fait poser tant de questions par lui, la culpabilité de savoir qu’il n’avait pas seulement volé un livre mais plusieurs, mais en ne rendant qu’un seul livre a rendu Montag fou.

Il cache ses mains sous la table, à l’abri des regards pensant qu’ils sont coupables d’un crime et sentant aussi que ses mains sont tachées de sang. 2. Ces mots sont dits par le capitaine Beatty à Guy Montag. Bradbury utilise ici une allusion au pape. La source Pierian est une allusion utilisée par le pape, décrivant un lieu mythologique d’où les muses tirent leur savoir. Cela signifie que nous devons apprendre tout ou rien. Trop peu de connaissances est dangereux, mais la compréhension nous sauve. Apprendre juste un peu peut être trompeur.

De même, le capitaine Beatty essaie de dire indirectement à Montag qu’il devrait se tenir à l’écart des livres ou du savoir parce qu’il sait juste un peu et que cela peut conduire à sa propre destruction. Page 104, 106 1. Faber dit ces mots à Guy Montag. La majorité ici est désignée comme le gouvernement. Alors que Beatty essaie d’embrouiller Montag avec ses questions, Faber lui dit de rester fort et de ne pas s’embrouiller. Il craint qu’il y ait beaucoup de gens du côté du gouvernement par rapport au côté dans lequel lui et Montag se trouvent, et qu’ils devront donc combattre cette cruauté seuls, par eux-mêmes . Le narrateur, Ray Bradbury, décrit dans cette citation comment Montag se remémorait toutes les choses qui lui sont arrivées ce soir. Il a pensé aux amis de Mildred qui sont venus ce soir, à leur attitude envers la société, à la façon dont il leur a lu le poème, à leur réaction, etc. Il a commencé à se demander s’il avait fait le bon choix en lisant le poème à la femme ou non ? S’il n’avait pas eu ce moment dévastateur de l’incendie de sa maison n’aurait pas eu lieu.