Alexandre Dumas père

Alexandre Dumas pèreAKA Dumas Davy de la Pailleterie

Naissance : 24-Jul-1802
Lieu de naissance : Villers-Cotterêts, Aisne, France
Décès : 5-déc-1870
Lieu du décès : Puys, France
Cause du décès : Accident vasculaire cérébral
Mort : Enterré, Panthéon, Paris, France

Sexe : Homme
Race ou ethnie : Multiracial
Orientation sexuelle : Hétéro
Occupation : Romancier, dramaturge

Nationalité : France
Résumé : Les Trois Mousquetaires

Nouvelliste et dramaturge français, né à Villers-Cotterets (Aisne) le 24 juillet 1802. Son père, le général français, Thomas Alexandre Dumas, dit Alexandre Davy de la Pailleterie — est né à Saint-Domingue, fils naturel d’Antoine Alexandre Davy, marquis de la Pailleterie, par une négresse, Marie Cessette Dumas, morte en 1772. En 1780, il accompagna le marquis en France, où le père fit une mésalliance qui poussa le fils à s’engager dans un régiment de dragons. Thomas Alexandre Dumas était encore un simple soldat au début de la révolution, mais il a rapidement progressé et est devenu général de division en 1793. Il fut général en chef de l’armée des Pyrénées occidentales, puis fut transféré à des commandements dans les Alpes et en Vendée. Parmi ses nombreux exploits figure la défaite des Autrichiens au pont de Clausen le 22 avril 1797, où il commandait la cavalerie de Joubert. Il perdit la faveur de Napoléon par son franc-parler lors de la campagne d’Égypte, et rentra actuellement en France pour passer le reste de ses jours dans la retraite à Villers Cotterets, où il avait épousé en 1792 Marie Elisabeth Laboret.

Le romancier, issu de cette union, n’avait pas quatre ans lorsque le général Dumas mourut, laissant sa famille sans autre ressource que 30 arpents de terre. Mme Dumas essaya d’obtenir des secours de Napoléon, mais en vain, et vécut avec ses parents dans des conditions étroites. Alexandre reçoit les rudiments de l’éducation d’un prêtre et entre dans le bureau d’un notaire local. Son principal ami était Adolphe de Leuven, le fils d’un noble suédois exilé impliqué dans l’assassinat de Gustave III de Suède, et tous deux collaborèrent à divers vaudevilles et autres pièces qui ne virent jamais le jour. Louvain retourne à Paris et Dumas est envoyé chez un avoué à Crépy. Lorsqu’en 1823 Dumas réussit à rendre visite à son ami à Paris, il est reçu à sa grande joie par Talma. Il ne revint chez lui que pour rompre avec son employeur, et s’arranger pour chercher fortune à Paris, où il chercha sans succès l’aide des anciens amis de son père. Une introduction auprès du député de son département, le général Foy, lui procura cependant une place de commis au service du duc d’Orléans, avec un traitement de 1200 francs. Il se met au travail pour remédier à son manque d’instruction et pour collaborer avec Louvain à la production de vaudevilles et de mélodrames. Madame Dumas rejoint ensuite son fils à Paris, où elle meurt en 1838.

Suite à son arrivée à Paris, Dumas avait entamé une liaison avec une couturière, Marie Catherine Labay, et leur fils, le célèbre Alexandre Dumas fils, est né en 1824. Dumas reconnut son fils en 1831, et en obtint la garde après un procès avec la mère.

La première pièce de Dumas et Louvain à voir le jour est La Chasse et l’amour (Ambigu-Comique, 22 septembre 1825), et pour cela ils ont eu l’aide d’autres auteurs. Dumas participe à un autre vaudeville, La Noce et l’enterrement (Porte Saint-Martin, 21 novembre 1826). C’est sous l’influence des pièces de Shakespeare produites à Paris par Charles Kemble, Harriet Smithson (qui deviendra Mme Berlioz) et une troupe anglaise que fut écrit le drame romantique de Christine. Le sujet a été suggéré par un bas-relief du meurtre de Monaldeschi exposé au Salon de 1827. La pièce est acceptée par le baron Taylor et les sociétaires de la Comédie Française à condition qu’elle soit soumise à la révision par un autre dramaturge en raison de ses tendances novatrices. Mais la production de la pièce est reportée. Entre-temps, Dumas avait rencontré l’histoire du malheureux Saint-Mégrin et de la duchesse de Guise dans l’histoire d’Anquetil, et avait écrit, en prose, Henri III et sa cour, qui fut immédiatement accepté par la Comédie Française et produit le 11 février 1829. C’est le premier grand triomphe du drame romantique. La brillante mise en scène de la pièce et son admirable cadre historique ravissent un public habitué à la tragédie classique décadente, et lui valent l’amitié de Victor Hugo et d’Alfred de Vigny. Ses efforts littéraires avaient rencontré une désapprobation marquée de la part de ses supérieurs officiels, et il avait été contraint de démissionner de son poste de greffier avant la production d’Henri III. Le duc d’Orléans avait toutefois assisté à la représentation et l’avait nommé assistant-bibliothécaire au Palais Royal. Christine fut maintenant refondue en une trilogie romantique en vers en cinq actes avec un prologue et un épilogue, avec le sous-titre de Stockholm, Fontainebleau, Rome, et fut produite avec succès par Hard à l’Odéon en mars 1830.

La révolution de 1830 détourna temporairement Dumas des lettres. Le récit de ses exploits est à lire dans ses Mémoires, où, si les incidents sont vrais pour l’essentiel, ils ne perdent rien à être racontés. Pendant les combats de Paris, il attire l’attention de Lafayette, qui l’envoie à Soissons pour se procurer de la poudre. Avec l’aide de quelques habitants, il contraint le gouverneur à lui remettre le magasin, et à son retour à Paris, il est envoyé par Lafayette en mission pour lever une garde nationale en Vendée. Les conseils qu’il donna à Louis-Philippe à ce sujet furent mal accueillis, et après s’être offensé par d’autres indiscrétions, il finit par s’aliéner le gouvernement d’Orléans en étant impliqué dans les troubles qui suivirent les funérailles du général Lamarque en juin 1832, et il reçut l’indication que son absence de France était souhaitable. Un voyage en Suisse entrepris à ce titre fournit la matière du premier d’une longue série de livres de voyage amusants. Dumas resta cependant en termes amicaux et même affectueux avec le jeune duc d’Orléans jusqu’à sa mort en 1842.

En attendant, il avait produit Napoléon Bonaparte (Odéon, 10 janvier 1831), sa réticence à faire un héros de l’homme qui avait méprisé son père ayant été vaincue par Harel, qui le mit sous clef jusqu’à ce que la pièce soit terminée. Sa pièce suivante, Antony, eut une importance réelle dans l’histoire du théâtre romantique. Elle fut mise en répétition par Mlle Mars, mais de façon si peu satisfaisante que Dumas la confia à Bocage et à Mme Dorval, qui la jouèrent magnifiquement au théâtre de la Porte Saint-Martin le 3 mai 1831. Le héros byronien Antoine est un portrait de lui-même dans ses relations avec Mme Mélanie Waldor, épouse d’un officier et fille du journaliste M.G.T. de Villenave, sauf bien sûr dans le dénouement extravagamment mélodramatique, lorsque Antoine, pour sauver l’honneur de sa maîtresse, la tue et s’exclame : « Elle me résistait, je l’ai assassinée. » Il produira plus de vingt autres pièces de théâtre, seul ou en collaboration, avant 1845, à l’exclusion des dramatisations de ses romans. Richard Darlington (Porte Saint-Martin, 10 décembre 1831), dont la première idée était tirée des Chronicles of the Canongate de Sir Walter Scott, dut une partie de son grand succès à l’admirable jeu de Frédérick Lemaître. La Tour de Nesle (Porte Saint-Martin, 29 mai 1832), annoncée comme par MM. XXX et Gaillardet, fut l’occasion d’un duel et d’un procès avec l’auteur original, Frédéric Gaillardet, dont le manuscrit avait été révisé, d’abord par Jules Janin, puis par Dumas. Par la rapidité de son mouvement et la terreur qu’elle inspire, la pièce surpasse Henri III et Antoine. Un drame plus léger, Mademoiselle de Belle-Isle (Théâtre Français, 2 avril 1839), reste encore au répertoire.

En 1840, Dumas épousa Ida Ferrier, une actrice qu’il avait imposée aux théâtres qui prenaient ses pièces. Les relations aimables qui avaient subsisté entre eux pendant huit ans furent troublées par ce mariage, qui aurait été entrepris à la suite d’une forte insinuation du duc d’Orléans, et Mme Dumas vécut en Italie séparée de son mari.

En tant que romancier, Dumas commença par écrire des nouvelles, mais son heureuse collaboration avec Auguste Maquet, commencée en 1839, aboutit à l’admirable série de romans historiques dans lesquels il se proposait de reconstituer tout le cours de l’histoire de France. En 1844, il réalise, avec l’aide de Maquet, le plus célèbre des romans de cape et d’épée, Les Trois Mousquetaires (8 volumes), dont la matière a été découverte dans les Mémoires de M. d’Artagnan (Cologne, 1701-02) des Courtils de Sandras. Les aventures de d’Artagnan et des trois mousquetaires, le gigantesque Porthos, l’habile Aramis et le mélancolique Athos, qui s’unissent pour défendre l’honneur d’Anne d’Autriche contre le cardinal Richelieu et les machinations de « Milady », sont ramenées au meurtre de Buckingham en 1629. Leurs admirateurs ont été satisfaits par deux suites, Vingt ans après (10 volumes, 1845) et Dix ans plus tard, ou le vicomte de Bragelonne (26 parties, 1848-50), qui s’ouvre en 1660, nous montrant un d’Artagnan mûr, un capitaine de mousquetaires respectable, et contient le magnifique récit de la mort héroïque de Porthos. Les trois mousquetaires sont aussi célèbres en Angleterre qu’en France. Thackeray pouvait lire des articles sur Athos du lever au coucher du soleil avec la plus grande satisfaction de l’esprit, et Robert Louis Stevenson et Andrew Lang ont rendu hommage au groupe dans Memories and Portraits and Letters to Dead Authors. Avant la fin de l’année 1844, Dumas avait achevé un deuxième grand roman en 12 volumes, Le Comte de Monte-Cristo, dans lequel il avait reçu l’aide de Fiorentino ainsi que de Maquet. L’idée de l’intrigue a été suggérée par la Police dévoilée de Peuchet, et l’accent mis sur les incidents antérieurs, Dantès, Danglars et le château d’If, aurait été une réflexion ultérieure. Presque aussi célèbre que ces deux romans est l’ensemble des romans des Valois dont Henri IV est la figure centrale, à commencer par La Reine Margot (6 volumes, 1845), qui contient l’histoire de la lutte entre Catherine de Médicis et Henri de Navarre ; l’histoire du règne d’Henri III est racontée dans La Dame de Monsoreau (8 volumes, 1846), généralement connue en anglais sous le nom de Chicot the Jester, du fait de son personnage principal ; et dans Les Quarante-cinq (10 volumes, 1847-48), dans lequel Diane de Monsoreau se venge sur le duc d’Anjou de la mort de son ancien amant, Bussy d’Amboise.

On a beaucoup écrit sur la part exacte que Dumas a eue dans les romans qui portent son nom. La série Dumas-Maquet est sans doute la meilleure, mais Maquet seul n’a jamais rien accompli qui puisse les approcher en valeur. Les manuscrits des romans existent toujours de la main de Dumas, et les meilleurs d’entre eux portent l’empreinte indéniable de son talent inégalé de narrateur. La clé principale de son énorme production se trouve dans son industrie infatigable et son étonnante fertilité d’invention, et non dans le système de collaboration en gros qui a été exposé avec beaucoup d’exagération par Quérard dans ses Superchéries littéraires et par « Eugène de Mirecourt » (C.B.J. Jacquot) dans sa trompeuse Fabrique de romans, maison Alexandre Dumas (1845). En fait, ses assistants lui fournissaient des ébauches de romans sur des plans établis par lui-même, et il réécrivait ensuite le tout. Que cette méthode n’ait jamais été abusée, il serait impossible de l’affirmer ; Les Deux Diane, par exemple, prélude aux romans de Valois, aurait été entièrement écrit par Paul Meurice, bien que le nom de Dumas figure sur la page de titre.

La dernière partie de la vie de Dumas est un récit de labeur excessif pour faire face aux dépenses prodigues et aux dettes accumulées. Ses désastres commencent par la construction d’une maison de style Renaissance, avec un pavillon gothique et un parc « anglais », à Saint-Germain-en-Laye. Ce lieu, appelé Monte-Cristo, est gouverné par une foule de parasites des deux sexes, qui absorbent les gros revenus de Dumas et le laissent sans le sou. Dumas fonde également le Théâtre Historique, principalement pour la représentation de ses propres œuvres. L’entreprise est placée sous le patronage du duc de Montpensier et sous la direction d’Hippolyte Hostein, qui avait été secrétaire de la Comédie Française. Le théâtre est inauguré en février 1847 avec une version dramatique de La Reine Margot. Entre-temps, Dumas a été l’invité du duc de Montpensier à Madrid et a effectué une tournée quasi-officielle en Algérie et à Tunis sur un navire du gouvernement, ce qui a suscité de nombreux commentaires dans la presse. Dumas n’avait jamais changé ses opinions républicaines. Il accueillit avec joie la révolution de 1848, et fut même candidat aux honneurs électoraux dans le département de l’Yonne. Mais ce changement fut fatal à son entreprise théâtrale, dont il fut rendu financièrement responsable de l’échec en 1850. Son fils, Alexandre Dumas, vit alors avec sa mère, Mlle Labay, qui se réconcilie finalement avec l’aîné. Le père et le fils, bien que toujours en bons termes lorsqu’ils se rencontrent, ont des idées trop différentes pour se fréquenter. Après le coup d’État de 1851, Dumas franchit la frontière pour se rendre à Bruxelles. Deux années de production rapide et l’économie de son secrétaire, Noël Parfait, remettent un peu d’ordre dans ses affaires. De retour à Paris à la fin de l’année 1853, il crée un journal quotidien, Le Mousquetaire, pour la critique des arts et des lettres. Il est principalement rédigé par Dumas, dont les Mémoires y ont d’abord paru, et survit jusqu’en 1857, date à laquelle il est remplacé par un hebdomadaire, le Monte-Cristo (1857-60). En 1858, Dumas voyage à travers la Russie jusqu’au Caucase, et en 1860, il rejoint Giuseppe Garibaldi en Sicile. Après une expédition à Marseille à la recherche d’armes pour les insurgés, il retourne à Naples, où Garibaldi le nomme gardien des musées. Après quatre ans de résidence à Naples, il revient à Paris, et après la guerre de 1866, il visite les champs de bataille et réalise son récit de La Terreur prussienne. Mais ses forces commençaient à faiblir et, malgré les 1200 volumes qu’il disait avoir écrits à Napoléon, il était à la merci de ses créanciers et de la succession de dames de théâtre qui le tyrannisaient et ne craignaient rien d’autre que les visites occasionnelles de Dumas fils. Il fut finalement sauvé de ces dernières par sa fille, Mme Petel, qui vint vivre avec lui en 1868 ; et deux ans plus tard, le 5 décembre 1870, il mourut dans la maison de son fils à Puys, près de Dieppe.

Dumas ne fut jamais un véritable candidat aux honneurs académiques, mais il avait plus d’une fois pris des mesures pour étudier ses chances de succès. Une statue de lui a été érigée sur la place Malesherbes, à Paris, en 1883, et la figure de d’Artagnan trouve une place sur le piédestal.

Auguste Maquet a été le principal collaborateur de Dumas. Les autres étaient Paul Lacroix (le bibliophile « P. L. Jacob »), Paul Bocage, J. P. Mallefille et P. A. Fiorentino. Les romans de Dumas peuvent être classés de manière pratique dans une séquence historique. Les romans des Valois et la série des mousquetaires ont fait descendre l’histoire de France jusqu’en 1672. Les contributions à l’histoire ultérieure sont : La Dame de volupté (2 vol., 1864), les mémoires de Mme de Luynes, et sa suite Les Deux Reines (2 vol., 1864) ; La Tulipe noire (3 vol., 1850), l’histoire des frères de Witt ; Le Chevalier d’Harmental (4 vol., 1853), et Une Fille du régent (4 vol., 1845), l’histoire de deux complots contre le régent, le duc d’Orléans ; deux livres sur Mme du Deffand, Mémoires d’une aveugle (8 vol., 1856-57) et Les Confessions de la marquise (8 vol., 1857), tous deux d’une paternité douteuse ; Olympe de Clèves (9 vol., 1852), l’histoire d’une actrice et d’un jeune novice jésuite sous le règne de Louis XV, l’un de ses romans les plus populaires ; cinq livres sur le début de la Révolution jusqu’à l’exécution de Marie-Antoinette : les Mémoires d’un médecin, dont Joseph Balsamo (19 parties, 1846-48), dans lesquels figurent Rousseau, Mme du Barry et la dauphine Marie-Antoinette, avec ses suites ; Le Collier de la reine (9 vol., 1849-50), dans lequel Balsamo apparaît sous le pseudonyme de Cagliostro ; Ange Pitou (8 vol., 1852), connu en anglais sous le nom de « The Taking of the Bastille » ; La Comtesse de Charny (9 vol., 1853-55), qui décrit les tentatives pour sauver la monarchie et la fuite à Varennes ; et Le Chevalier de maison rouge (6 vol., 1846), qui s’ouvre en 1793 sur la tentative du héros de sauver la reine. Parmi les nombreux romans qui traitent de la dernière période révolutionnaire, citons : Les Blancs et les bleus (3 vol., 1868) et Les Compagnons de Jéhu (7 vol., 1857). Les Louves de Machecoul (10 vol., 1859) traite de l’insurrection de 1832 en Vendée. D’autres histoires célèbres sont : Les Frères corses (2 vol., 1845) ; La Femme au collier de velours (2 vol., 1851) ; Les Mohicans de Paris (19 vol., 1854-55), romans policiers avec lesquels on peut classer la série des Crimes célèbres (8 vol, 1839-41), dont la paternité est toutefois douteuse ; La San Félice (9 vol., 1864-65), dans laquelle Lady Hamilton joue un rôle de premier plan, avec ses suites Emma Lyonna et Souvenirs d’une favorite. Parmi ses nombreux ouvrages historiques autres que des romans, le plus important est son Louis XIV et son siècle (4 vol., 1845). Mes Mémoires (20 vol., 1852-54) est un récit de son père et de sa propre vie jusqu’en 1832. Il existe des éditions collectives de ses pièces de théâtre (6 vol., 1834-36, et 5 vol., 1863-74), mais sur les 91 pièces dont il est entièrement ou partiellement responsable, 24 ne figurent pas dans ces collections. Les œuvres complètes de Dumas ont été publiées par Michel Lévy frères en 277 volumes (1860-84).

Père : Thomas Alexandre Dumas (général français, né en 1762, mort en 1806)
Mère : Marie Elisabeth Laboret
Compagne : Marie Catherine Labay (un fils)
Fils : Alexandre Dumas fils (écrivain, né en 1824)
Epouse : Ida Ferrier (actrice, m. 1-fév-1840)

Duel 1832 avec Frédéric Gaillardet
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